Née de la volonté conjuguée d’universités, de grandes écoles et d’organismes de recherche, l’Université Paris-Saclay compte parmi les grandes universités européennes et mondiales, couvrant les secteurs des Sciences et Ingénierie, des Sciences de la Vie et Santé, et des Sciences Humaines et Sociales. Sa politique scientifique associe étroitement recherche et innovation, et s’exprime à la fois en sciences fondamentales et en sciences appliquées pour répondre aux grands enjeux sociétaux. Du premier cycle au doctorat, en passant par des programmes de grandes écoles, l’Université Paris-Saclay déploie une offre de formation sur un large spectre de disciplines, au service de la réussite étudiante et de l’insertion professionnelle. Elle prépare les étudiants à une société en pleine mutation, où l’esprit critique, l’agilité et la capacité à renouveler ses compétences sont clés. L’Université Paris-Saclay propose également un riche programme de formations tout au long de la vie. Située au sud de Paris sur un vaste territoire, l’Université Paris-Saclay bénéficie d’une position géographique favorisant à la fois sa visibilité internationale et des liens étroits avec ses partenaires socio-économiques – grands groupes industriels, PME, start-up, collectivités territoriales, associations…
Site web : https://www.universite-paris-saclay.fr/fr
Etablissement handi-accueillant et attaché à la mixité et à la diversité
L’UMR 981 est une unité de recherche sur le site de Gustave Roussy dont l’objectif est d’identifier de nouvelles cibles qui conduisent à la progression du cancer, d’identifier des prédicteurs moléculaires et de développer des thérapies ciblées.
L’équipe « Génomique et Oncogenèse des tumeurs cérébrales pédiatriques » développe un programme de recherche spécifique sur les gliomes diffus de la ligne médiane (DMG). Ce sont des tumeurs de haut grade se développant dans le tronc cérébral, le thalamus ou la moëlle épinière chez l’enfant et l’adolescent. Ces tumeurs ne sont pas résécables du fait de leur localisation sensible et de leur nature infiltrante. La médiane de survie de cette tumeur se situe entre 9 et 12 mois, et le taux de survie à 5 ans est inférieur à 1 %. La découverte et l’évaluation de nouveaux traitements est donc une priorité. Dans ce contexte, des approches in vivo dans des modèles murins sont une clé de voûte dont nous ne pouvons pas passer et qui doivent être constamment entretenues.
Mission du service / positionnement hiérarchique :
Les missions principales de l’agent·e seront de mettre en place et utiliser de modèles murins de ces gliomes pédiatriques pour identifier de nouvelles approches thérapeutiques permettant d’interférer avec le développement de la maladie.
Dans ce contexte, une première mission consistera à conduire des évaluations précliniques de nouvelles molécules en utilisant des modèles de PDX orthotopique (intra-acérabral) développés au laboratoire. Une seconde mission consistera à développer un modèle syngénique immunocompétent de la maladie par électroporation in utero à des stades précoces du développement (E12.5). Ce modèle sera ensuite utilisé pour réaliser l’analyse des interactions bijectives de la tumeur avec son microenvironnement et l’évaluation préclinique de l’efficacité de nouvelles approches immunothérapeutiques.
L’agent·e sera un·e ingénieur·e d’étude en biologie animale capable de développer et conduire des protocoles expérimentaux complexes et ambitieux in vivo, et d’analyser les résultats.
Missions principales de l’agent·e :
Type du contrat : CDD 5 mois
Connaissance, savoir :
Savoir-faire :
Savoir-être :